26 octobre 2012

INTERNATIONALE UTOPISTE #3

Le troisième numéro de l'INTERNATIONALE UTOPISTE est enfin dispo ! Un fanzine entièrement bricolé main où se mélangent critique sociale, théorie politique, urba­nisme et récits persos, le tout accom­pa­gné de tout un tas de photos, col­la­ges et autres illus­tra­tions. Plus beau, plus gros que le n°2 : 82 pages NB et autant de temps passé à coller des textes sur des images et des images sur des bouts de textes, le tout emballé dans une couverture couleur à dos carré collé. Le tout est à prix libre de la main à la main ou dans les lieux non-marchands (compter des frais de port en plus pour les envois postaux) et à 5€ en librairies. Pour rappel, une liste des lieux ou on pouvait trouver le précédent numéro et qui devrait peu changer : voir ici. Tous autres plans diffusion-distribution-troc bienvenus !

Commande/Infos/Contact : www.internationale-utopiste.org

Au sommaire : 

- une série de réflexions sur la « crise », le capitalisme et la « valeur travail »
- de la théorie politique et un grand article en trois parties «dynamisme-autonomie-créativité » qui tente de construire une philosophie libertaire autour de ces trois termes
- toute une série de récits persos où les efforts pour s'arracher à un quotidien et à un monde de merde se dessinent sur fond de frustration, d'inadaptation sociale, d'échecs, de marginalité et de précarité
- un « éloge de la désertion »
- des textes sur l'urbanisme, l'idéologie des grandes « métropoles » et une enquête sur le quartier de la Part-Dieu à Lyon
- la suite du « traité de poésie sauvage » où il est toujours question de déambulations nocturnes, d'explorations urbaines, de jeux et où il est expliqué en quoi tout cela peut prendre un sens politique
- tout un tas de photos et de collages « maison »
- la deuxième livraison du « Dadapedia », l'encyclopédie qui vous dit enfin la vérité sur tout
- un hommage à un voyou/poète/bouffeur de curé/joyeux fêtard/vagabond et presque pendu
- et toute une série de chroniques de zines, brochures et livres qui sont autant de prétextes à parler punk, graffiti, culture ou féminisme


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